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Je dois en premier lieu préciser la difficulté de dessiner un personnage en comparaison à un arbre ou une fleur. Un arbre avec une branche placée de travers à toujours l'air d'un arbre, tandis que le personnage avec un bras trop court ou mal placé semble déséquilibré et sa représentation nous agace. Le modèle vivant est plus intéressant qu'un arbre, une roche ou une fleur. Surtout parce que c'est plus difficile.

Mes cousins et cousines seraient dans une école complètement différente de la nôtre.  Après avoir passé un bel été avec eux-autres, la réalité prenait place. Une nouvelle expérience commençait.

Or il y en est une autre, en voie de disparition, dont on parle peu : le bénévole. Pour l’heure, malgré sa précarité, il semble encore résilient. Cependant, la culture du bénévolat s’étiole lentement pour faire place au je, me, moi. Nous sommes à l’ère de l’individualisme, du solitarisme et du renfermement sur soi.

Le bénévole, pour ce qu’il en reste, semble appartenir à un autre âge. Soulignons en outre que le bénévolat communautaire est surtout un « sport » féminin.

En effet, après que les textes eurent traversé l’Atlantique, notre infographiste Christiane Plante a fait le montage du Journal de là-bas où elle était en vacances puis l’a retourné pour impression à La Sarre.

C’est ce que permet la technologie d’aujourd’hui. Avec un portable sous le bras, le travail peut s’effectuer de partout sur la planète, et ce en temps réel.

Le but de cette rencontre est de faire connaître la situation actuelle de la Fabrique et de réunir des idées et des suggestions en vue de solutions efficaces et réalistes à la survie de notre mission.

Soyez des nôtres ! Nous vous attendons en grand nombre.

Martine Lapointe, marguillière

Nous savons tous que ça ne date pas d'hier. L'invention des premiers patins revient à un Français du nom de C.L. Petitbled, dans les années 1800. Il s'agissait d'une planche de bois et trois roulettes.

Le directeur des opérations d’extinction, le sapeur Irénée Drainville, a mentionné avoir requis l’aide des pompiers de Ste-Germaine et Roquemaure. Une trentaine de sapeurs ont combattu les flammes et protégé les propriétés environnantes.

Par ailleurs, la brigade de Palmarolle tient à sensibiliser les citoyens aux dangers de trop s’approcher des lieux d’un sinistre. En plus de nuire au travail des sapeurs, des produits chimiques dangereux se consumaient lors de cet incendie.